samedi 31 janvier 2009
Souvenir, souvenir...
À l'époque on savait pas qu'y avait déjà eu un groupe qui s'appelait T-REX et quand on a demandé, au début personne n'a su nous répondre, je sais, maintenant à l'âge de l'internet ça parait incroyable, mais il fut un temps ou les choses n'étaient pas si simples à prouver ou tout simplement à trouver, comme les chansons, leurs paroles ou leurs tablatures... C'était un autre monde de musique. Maintenant profitons-en sans en abuser.
À suivre quelques morceaux en live... Eh si ! Bon soyez pas trop critique sur la qualité j'vous préviens d'avance, c'était enregistré sur un caméscope...
vendredi 30 janvier 2009
mercredi 28 janvier 2009
Stop the stress
lundi 26 janvier 2009
P'tite connerie vite fait
vendredi 23 janvier 2009
Un message du Burkina
lundi 19 janvier 2009
Nouvelle zik.
dimanche 18 janvier 2009
Pluriels (merci les DOM-TOM)
Pluriels méconnus
Un rat ? des goûts
Un cas ? des colles
Un pont ? des râbles
Un flagrant ? des lits
Une voiture ? des mares
Un évier ? des bouchers
Un scout ? des brouillards
Un bond ? des buts
Une dent ? des chaussées
Un air ? des confits
Un beau ? des cors
Un mur ? des crépis
Un vrai ? des dalles
Un valet ? des curies
Une passagère ? des faïences
Un drogué ? des foncés
Une jolie ? des gaines
Un crâne ? des garnis
Un frigo ? des givrés
Une moue ? des goûters
Un brusque ? des luges
Un ministre ? des missionnaires
Une grosse ? des panses
Un propos ? des placés
Une cinglante ? des routes
Un fâcheux ? des agréments
Un patron ? des spots
Un délicieux ? des cerfs
Une bande ? des cinés
Un sirop ? des râbles
Un argent ? des tournées
et le plus à propos pour la fin :
Une bière ? des haltères
Demain, nouvelle playlist, pas de moi, trouvée sur deezer, mais en BO et elle est plutot pas mal...
vendredi 16 janvier 2009
Quelques courts
mardi 13 janvier 2009
Un peu d'art
Son père, Acrisios, l'emprisonne dans une tour de bronze quand un oracle lui prédit qu'il serait tué par son petit-fils. Zeus parvient toutefois à se présenter à elle pour la séduire sous la forme d'une pluie de pièces d'or. De cette union naît un fils, Persée. Courroucé, Acrisios met sa fille et son petit-fils dans un coffre qu'il jette à la dérive. Ceux-ci parviennent à Sérifos, où le roi Polydecte, épris de Danaé, tente de la forcer à l'épouser. Persée, revenant avec la tête de Méduse, change le roi en pierre et réussit à ramener sa mère à Argos.
Virgile raconte qu'elle se rend plus tard en Italie où elle fonde la ville d'Ardée. Son petit-fils Turnus se dispute la main de Lavinia avec Énée. Danaé est également mentionnée dans les tragédies d'Eschyle, d'Euripide et de Sophocle. Elle symbolise la terre souffrant de sécheresse et sur laquelle une pluie fertilisante descend du ciel.
lundi 12 janvier 2009
Vous avez l'esprit mal placé...
Et en plus une blagounette :
Douze prêtres étaient sur le point d'être ordonnés.
Leur ultime épreuve était de s'aligner entièrement nus dans le jardin du couvent tandis qu'une belle fille très sexy, pourvue d'une poitrine ravageuse, danserait complètement dévêtue devant chacun d'eux.
Chaque futur prêtre avait une clochette fixée à son pénis et il était prévu que... quiconque ferait tinter sa clochette pendant qu'elle danserait ne serait pas ordonné parce qu'il n'avait pas atteint un état de pureté spirituelle.
La fille commença à danser devant le premier candidat... .. .
Aucune réaction.
Elle procéda ainsi le long de la rangée des candidats prêtres avec la même absence totale de réaction de tous... ...
... ... jusqu'au dernier: Carlos
Pauvre Carlos !
Alors que la fille s'avançait vers lui en dansant, sa cloche sonna si fort qu'elle s'envola dans le jardin et atterrit loin devant lui.
Confus et honteux, Carlos s'avança rapidement vers la clochette et se baissa pour la récupérer.... ...
... ... C'est à ce moment que... ...
... ... toutes les autres clochettes se mirent à carillonner !
jeudi 8 janvier 2009
Retour vers The Dø
Pjijadur ivez !
mardi 6 janvier 2009
Toujours vers le futur
Plijadur ha Bloavezh Mat deoc'h.
première parution dans le recueil Honeymoon in Hell,
Bantam, 1958
La clarté qui le baignait provenait d'un étrange soleil bleu, et la pesanteur, du double de celle à laquelle il était habitué, lui rendait pénible le moindre mouvement.
Dans cette partie de l'univers, depuis plusieurs dizaines de milliers d'années, la guerre s'était figée en guerre de position. les pilotes avaient la vie belle, dans leurs beaux astronefs, avec leurs armes toujours plus perfectionnées. Mais dès qu'on arrivait aux choses sérieuses, c'était encore au fantassin, à la piétaille, que revenait la tâche de prendre les positions et de les défendre coûte que coûte. Et voilà que cette saloperie de planète orbitant autour d'une étoile dont il n'avait
jamais entendu parler avant qu'on l'y dépose devenait "un sol sacré", parce que les "Étrangers" si trouvaient aussi. Les Étrangers, c'est-à-dire la seule autre espèce intelligente de toute la Galaxie... des êtres monstrueux, cruels et hideux.
Le premier contact avec eux avait eu lieu près du Centre galactique, alors que nous avions colonisé lentement, et avec de grandes difficultés, douze mille planètes. Et les hostilités avaient aussitôt éclaté : les Étrangers avaient ouvert le feu sans chercher à négocier ou à envisager des
relations pacifiques.
Maintenant, comme autant d'ilots dans l'océan du Cosmos, chaque planète était l'enjeu de combats féroces et acharnée.
Gelé, trempé, boueux, il avait faim et un vent féroce lui meurtrissait les yeux. Mais comme les Étrangers tentaient une manoeuvre d'infiltration et que la moindre position tenue par une sentinelle devenait un élément vital du dispositif global, il restait en alerte, prêt du feu. À
cinquante mille années-lumière de chez lui, il faisait la guerre sur un monde inconnu, se demandant s'il reverrait jamais son foyer.
Et c'est alors qu'il vit un Étranger ramper vers lui. Il tira une rafale. L'Étranger émit ce bruit affreux et bizarre qu'ils produisent tous en mourant, puis s'immobilisa.
Il frissonna en entendant ce râle, et la vue de l'Étranger le fit frissonner encore plus. On devrait pourtant s'y habituer, à force d'en voir, pensa-t-il - mais il n'y était jamais arrivé. Avec seulement deux bras et deux jambes, et une peau d'un blanc écœurant, nue et sans écailles, ces Étrangers étaient vraiment trop répugnants.